« Ce que tu cherches te cherche » (Djalal Al Din Rumi)
« La beauté réside dans les ajustements de celui qui regarde » (Donald Symons)
Variante : « L' Amour est dans les yeux de celui qui regarde » (Alain - Propos du le Bonheur)
« Le coeur a autant d'humeur que le visage à d'expression. Pour capturer mille coeurs, il faut mille ruses » (Ovide, L'Art d'aimer)
« Les femmes se marient en croyant que leur mari va changer; les hommes se marient en croyant que leur femme ne changera pas. Tout le monde se trompe » (Sasha Gutry)
« Aucun homme n'est une île » (Anonyme)
« Il n'y a pas de plus bel Amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime... Aime les autres comme toi-même » (Jésus de Nazareth)
« L' Amour, c'est l'oubli de soi » (Denis Diderot)
« L' Amour est très animal, c'est sa beauté ! » (François Villon)
« Dépêchons-nous de succomber à la tentation avant qu'elle ne s"éloigne » (Epicure)
« La meilleure façon de résister à une tentation c'est d'y céder » (Oscar Wilde)
« Le Sexe, c'est d'abord dans la tête » (beaucoup l'on dit, y compris Clara Morgane)
« Le Sexe, c'est la denrée du pauvre » (Louis-Ferdinand Céline)
« Nous n'avons jamais tout à fait dépassé l'idée qu'il y a, quelque part, des gens qui vivent en parfaite harmonie avec la nature et avec eux mêmes, et que nous pourrions en faire autant sans l'influence corruptrice de la culture occidentale » (Melvin Konner)
« Souvent femme varie » (François Ier, Roi de France)
« On n'obtient ni Amour, ni Amitié, ni Respect par force » (Alain, "Propos sur le Bonheur")
« Tout ce qui touche le coeur se grave dans la mémoire » (Eric Bodart)























Extraits du recueil "Peau-Aime of Love" de 40 poésies en vers en langue française d'Eric Bodart
Les langages de l'Amour
On dit que souvent femmes varient,
Que si elles trompent leur mari,
Que si un autre les attire,
C’est parce que l’Amour est Désir.
Si aveugle de perception,
Elles s’abandonnent par passion,
Pour un homme d’un genre différent,
C’est que l’Amour est Inconscient.
Tout nous ramène à l’essentiel,
A notre vision maternelle,
A nos rêves d’adolescence,
Où l’Imaginaire prend naissance.
Si en risquant de perdre l’autre,
Dans la jalousie on se vautre,
Parce qu’on ressent mille frayeurs,
C’est que l’Amour crée des Peurs.
On dit que d’aimer c’est tactile,
Que c’est calme, généreux, docile,
Que la main sur le corps passé,
C’est l’Amour en Sensualité.
Si on pense d’abord à l’autre,
A ne vouloir que son bien être,
De l’étreindre jusqu’à l’épanouir,
Alors l’Amour devient Plaisir.
Tout ce qui touche notre cœur,
Qu’on garde enfoui à l’intérieur,
Les mots intenses, les bons serments,
C’est que l’Amour est Sentiments.
Apprenons donc à nous aimer,
Paisiblement, sans se presser,
A en tirer un enseignement,
Apprenons l’Amour sagement.
A se connaître, à partager,
A construire et s’organiser,
A suivre ensemble le même chemin,
Pour qu’enfin l’Amour soit Divin.
(Eric Bodart, Juin 2007
Ecrit d'après les 9 langages du livre de Jacques Salomé et Sylvie Galland "S'Aimer et se le dire")
L'e Bonheur en ce jardin
Il y a le vent, le mauvais temps, la tempête,
Le chant des oiseaux, le murmure des ruisseaux,
Il y a le ciel juste au dessus de nos têtes,
Maintenant les nuages, le soleil, il fait beau.
Dans ce grand jardin, il y a arbres et pelouses,
Où les enfants jouent agitant leur drapeau,
Des ballons, des poneys attelés aux charrettes,
Devant les statuettes, les témoins du château.
Il y a des pigeons qui picorent des graines,
Des personnes assises, des kiosques musicaux,
Il y a pleins de chiens qui boivent aux fontaines,
Des vendeurs d’esquimaux, des bassins à jets d’eau…
Et puis, comme un air de fête, douce fleurette,
Craquante mignonnette, celle qui me fait tourner la tête…
… Il y a Toi.
(Eric Bodart, le 23 mai 1991)
Mademoiselle
Ce n’est point votre corps mais votre âme que j’aime,
Ce charme, ce minois, cet œil qui sourit,
Votre allure d’étoile, votre parfum qui sème,
Sur mon cœur et mes nuits leurs douces mélodies.
Je vous écris ces mots que je ne puis vous dire,
Qui font parfois souffrir et ne se disent pas,
Qui sont fruits de l’esprit, des tourments, des délires,
Qui remplissent les cœurs de larmes et de joie.
Car enfin toutes les femmes ont besoin de rêver,
Qu’on leur dise qu’on les aime et qu’on veuille leur donner,
Juste un coin de bonheur, un bout de liberté,
Une terre, une idylle, qu’on les fasse voyager.
Dans ce cas, Mademoiselle, c’est de vous qu’il s’agit,
Pour l’être que vous êtes, on aimerait la vie,
Contre vous se serrer et baiser vos genoux…
Laissez moi m’oublier et ne penser qu’à vous.
(Eric Bodart, Le 10 Octobre 1994)
Vos Yeux
Lorsque je vis vos yeux charmants et pleins de rêves,
Vos yeux papillonnants aux longs cils recourbés,
Ces joyaux pétillants où coule parfois la sève,
Des sentiments cachés, des émotions trouvées.
Je pensais leur faire voir un monde sans misère,
Un monde fait pour nous où tout est à donner,
Où l’Amour du prochain n’a pas de frontière,
Un monde où l’avenir ne court aucun danger.
Lorsque je vis vos yeux pleins de délicatesse,
De tendresse, de passion, sur les gens se poser,
Inspirer le respect aux Dieux et aux Déesses,
Les miens se sont baissés, je me suis incliné.
Je ne pus leur faire voir ces horizons nouveaux,
Je perdis mes moyens, je fus désemparé.
Comment, Mademoiselle, dans un regard si beau,
Pouvez-vous faire passer toute une éternité ?
Quand je trouverai la force que vos yeux m’inspirent,
Quand je verrai vos larmes savoureuses couler,
Je n’aurai plus qu’un seul et unique désir,
De vouloir à jamais dans mes bras vous serrer.
(Eric Bodart, le 13 Octobre 1994)
Un Pays Merveilleux
Loin de cette faune absurde, loin de notre banlieue,
Il existe un pays pour faire parler nos yeux.
Loin des plaintes du peuple, loin des gens envieux,
Il existe un pays pour les amants heureux.
Loin de cette jungle horrible, de ce monde égoïste,
Il est une douce terre pour nous rendre moins triste.
Loin du système scolaire, et des capitalistes,
Est une humanité, une empreinte d’artistes.
Dans les mondanités et les fêtes joyeuses,
Il existe un pays dont on parle souvent,
Où les corps s’emmêlent, où les femmes gracieuses,
Donnent à leurs amants leurs multiples talents.
Dans les chambres éclairées par un vif clair de lune,
Il existe un pays où tout le monde peut aller,
Où les pentes des reins ont trouvés leur fortune,
S’entrelaçant sans fin entre des bras serrés.
Loin de notre planète au rythme trépidant,
Il existe un pays merveilleux, enivrant,
Et vers ce beau pays qu’on appelle «Septième ciel »,
Je t’emmènerai parler un langage éternel.
(Eric Bodart, Le 30 Décembre 2005)
La Soie de ton Cuir blanc
Si on m’avait dit qu’un jour,
J’aurais le bonheur de toucher,
L’enveloppe câline qui t’entoure,
Je l’aurais embrasé.
S’il y eut une époque,
Où nos corps enlacés,
Assoiffés se rétorquent,
Allons nous décoiffer.
Dans la simple clairière,
Dans les bois et les prés,
Au planché arrosé,
Ton cuir blanc se défère.
Sur la soie de ce cuir,
Transpire ta vérité,
Une odeur parfumée,
Me saoule de délire.
J’en tremble et j’admire,
Ton corps sage étendu,
Sous la rosée sentir,
Ta peau et sa vertu.
Je descends par derrière,
Excité comme un pou,
A ta croupe il faut plaire,
Lui semer des bisous...
Tout ce qui me fait dire,
Que ton cuir parsemé,
De ses grains de beauté,
Est diamant et saphir,
Je ne te le dis pas,
N’ai pas droit de citer,
L’ampleur est réservée,
A un autre que moi.
Je trépigne et espère,
Un jour sa revenue,
Et qui sans retenue,
Se donnera sans manières,
Aux passions de la chair,
Aux plaisirs défendus,
A mes mains solitaires,
Caressant ta soie nue.
Glissantes de ta nuque,
A tes lèvres épanouies.
Dans ce précieux rubis,
Brillant et magnifique,
J’éclipserai deux doigts,
Pour combler ton envie,
Et entendre ta voie,
Monter vers l’infini.
Après la chevauchée,
Qui me rendra justice,
Donnant de l’appendis,
En ton corps endiablé,
J’irai mourir d’Amour,
Comme un prince charmant,
Sur ta soie de velours,
La soie de ton cuir blanc.
(Eric Bodart, le 1er Juin 2007)
Perle rare
(Lettre à une future Belle-mère)
Du temps où mes paroles,
Faisaient souvent des vagues,
Trop sérieuses et sans blagues,
Comme la mer cabriole,
Comme un pape incrédule,
Moralement épuisé,
Mes vers faisaient des bulles,
Fort bien mal inspirées.
Je ne savais quoi faire,
Car la belle étouffait,
Les sentiments sincères,
Qu’ensemble on bourdonnait.
Quand j’avais faculté,
Pour arrêter d’écrire,
Pour vouloir me punir,
En la laissant tomber,
J’étais si malheureux,
D’être seul à construire,
Et bien trop miséreux,
Pour ne pas lui servir.
Votre fille Madame,
Doit faire beaucoup d’envieux,
Une superbe femme,
Et ce qu’il y a de mieux,
C’est un vrai prototype,
D’une grande gentillesse,
D’une affectueuse tendresse,
L’idéal archétype…
Il se trouve que je l’aime,
A l’insu de mon plein gré,
Ce n’est pas un blasphème,
Dieu me l’a demandé !
Devant elle je roucoule,
Mais bien mal introduit,
Avez-vous gardé le moule,
Pour m’en faire une copie ?
(Eric Bodart, Le 3 Juin 2007)
Mignonne
L’aube à peine s’élève,
Et toi tu dors encore,
Achève ton doux rêve,
Mignonne,… c’est de l’or.
Les oiseaux et les fleurs,
S’éveillent tour à tour,
Aux premières lueurs,
Mignonne,… c’est le jour.
Déjà le jour s’éteint,
Le ciel devient tout noir,
Le silence est en plein,
Mignonne,… c’est le soir.
Maintenant tout est sombre,
Tout cesse, tout s’enfuit,
Vite, un baiser dans l’ombre,
Mignonne,… c’est la nuit.
Allongé sur ton corps,
Caressant ses contours,
Je t’embrasse plus fort,
Mignonne,…c’est l’Amour.
(Eric Bodart, le 15 janvier 1997)
La Grande Aventure,
Si tu m’aimes un p’tit peu, je voudrais la tenter,
Cette grande aventure sensée se renouveler,
Que toujours entre nous règne cette harmonie,
Pour un temps s’évader loin des mûrs de Paris.
T’emmener dans les îles où il y a du soleil,
Visiter avec toi tous les monts et merveilles,
Et comme un missionnaire pouvoir te rendre hommage,
Puisque notre aventure est faite de voyages.
Que nous partions tous deux dans les vertes campagnes,
Pleines de champs, de blés et de meules de foin,
Pour nous deux il n’est point de châteaux en Espagne,
Il n’y a que les Dieux et nos Anges pour témoins.
C’est la grande aventure que je veux partager,
Pour une longue promenade qui risque de durer,
Loin des villes maussades, du train-train quotidien,
Te prouver que je t’Aime et que je t’appartiens.
Tentons là tous les deux cette grande aventure,
Afin de me connaître il suffit de m’appeler,
Ne soit pas si timide, soumise à l’imposture,
D’un autre homme bel âtre qui pourrait te tromper.
S’il est bien que tu sois aussi indépendante,
Si j’aime te voir libre, heureuse, pleine d’amants,
L’aventure avec toi c’est notre étoile montante,
Qui unira nos corps avec enchantement.
(Eric Bodart, Le 24 Décembre 2005)
Voyagerais pas
Je ne naviguerai pas sans toi, sur la toile, sur Internet,
Je ne voyagerai pas sans toi sur notre bonne vieille planète,
Je t’emmènerai en voyage, dans ces îles où la flore abonde,
Si tu partais seule en tournage, je t’attendrai chaque seconde…
J’irai jusqu’au creux de tes bras, si tu veux me donner ma chance.
J’irai jusqu’au fond de tes draps, chercher ton corps, ma providence.
Je t’écrirai mille scénarii, pour que ta beauté resplendisse,
Que tu deviennes Star, épanouie, pour que tu glisses et que tu jouisses.
Je voudrais être le meilleur, pour satisfaire tes exigences,
Te rassurer quand tu as peur, des hommes et de leur dépendance.
Te laisser libre de penser, de bouger, d’agir à ta convenance,
Te laisser libre de baiser, sans jalousie ni connivence.
Je ne voyagerai pas sans toi, dans ces pays lointains d’Asie,
Je n’irai pas voir les chinois sans ma muse, mon égérie,
Je ne me transporterai pas dans les airs, ni dans les eaux profondes,
Jamais ailleurs que dans ta chair ni que dans ton âme féconde.
(Eric Bodart, le 30 Décembre 2004)
Vie,
Toute la vie est un chant d’harmonie,
Un voyage au soleil sur une plage désertée,
Un embrasement subtil de deux corps enlacés,
Une scène de théâtre de plaisirs et folies.
Toute la vie est une œuvre musicale complète,
Un savoureux mélange de beautés et de goûts,
A l’image de Dieu, à la gloire du prophète,
La vie se vit en l’air et pas dans les égouts.
La terre tourne trop vite on aimerait l’arrêter,
Le feu qui nous uni commence à nous chauffer,
L’eau qui circule en nous est une tendre émotion,
Ton air n’est qu’un hymne d’Amour et de passion.
Toute ta vie est un chant d’harmonie,
Un voyage au soleil, et l’été dans ta couche,
Tu rêves au prince charmant, à l’homme et au génie,
Qui viendrait au contact du souffle de ta bouche.
Toute ma vie est un rêve depuis que tes beaux yeux,
Ont croisés mon regard un soir au restaurant,
Si nous étions ensemble au moins nous serions deux,
Cette vie avec toi, je la veux, je l’attends.
Pour faire de toi une reine et une fleur des îles,
Une terre riche, tendre, harmonieuse et docile,
Pour transformer mon feu, assouvir tes envies,
Je te transporterais rosière,… au paradis.
(Eric Bodart, Le 13 Décembre 2005)
T'Aimer devant le Grand Créateur
Je te revois dans cette église,
Où j’avais tombé la chemise,
Pour un fol moment avec toi,
Sur l’hôtel et devant la croix.
Je te revois en robe rose,
L’air de me dire attrape-moi,
Ne sois pas si timide et ose,
Me déguster de haut en bas.
Tu viens jusqu’à moi t’accroupir,
Mais ce n’est pas pour une prière,
On m’entendrait presque gémir,
Même en Saint lieu tu sais y faire.
Je te retrouve dans cette église,
En robe blanche, toute excitée,
Quelques années après sottises,
Comme une grenade dégoupillée.
Devant le Prête tu me dis « Oui »,
Cela tombe bien car moi aussi,
Et je te glisse l’alliance au doigt,
On est marié… Tant pis pour moi !!
Je te retrouve dans cette église,
Où je t’avais conquis promise,
Pour un fol moment de bonheur,
Sous les yeux du Grand Créateur.
(Eric Bodart, le 3 Juin 2007)
Profitons-en !,
Amusons notre vie, c’est encore le moment,
Elle est trop dure, elle est trop courte,
Amusons notre vie, ne perdons plus de temps,
En bavardage et en déroute.
Rencontrons-nous, communiquons,
Avec aisance et le sourire,
Travaillons pour une bonne action,
Puisqu’il nous ait permis d’agir.
Chantons, dansons et voyageons,
Faisons l’Amour et partageons,
Nos joies, nos peines, et nos plaisirs,
Qu’ils aboutissent en fous rires.
Faisons un long chemin ensemble,
Construisons un grand avenir,
A nos enfants qui nous ressemblent,
Bâtissons leur un bel empire.
La vie est dure, la vie est courte,
Donc, il faut bien en profiter,
Amusons là coûte que coûte,
Sortons de la morosité.
(Eric Bodart, Le 23 Août 2004)
Je te salue Marie
Si je sens ton Amour, mûrir dans tes yeux,
Ton sourire, tes paroles, qu’ils me viennent des cieux,
Des entrailles de la terre ou du fond de ton cœur,
Je serai plus subtil, je serai le meilleur.
Si je sens ton Amour au plus profond de toi,
De ton être sublime, de ton corps de sirène,
Il jaillira de moi, comme l’eau des fontaines,
Un homme exceptionnel dont tu ne te doutes pas.
Que je sois ton amant, que je sois ton ami,
Qu’on sorte ensemble ou non, qu’on soit libre ou uni,
Jamais je ne pourrai t’extraire de mes pensées,
Jamais je n’oserai gâcher ta liberté.
Que tu sois près de moi ou parti loin d’ici,
Ton visage d’ange qui m’inspire jour et nuit,
Ton ombre et ta lumière gravés dans mon esprit,
Ne pourront s’effacer. Je te salue Marie.
(Eric Bodart, Le 18 Février 1995)
