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Différence entre la libido masculine et la libido féminine

  • ericbodart1
  • 1 nov. 2023
  • 3 min de lecture

La libido masculine liée au sexe masculin quel qu'en soit le genre, est hyper développée arrivé à l'âge de 20 ans où elle trouve son apogée. Puis elle régresse avec le temps, notamment à partir de 35 ans pour finalement se retrouver en berne (libido barrée) vers 50/55 ans où on commence à avoir besoin de viagra ou autres excitants et parfois des problèmes de prostate...

La libido féminine liée au sexe féminin en revanche, n'est que peu développée vers 20 ans chez les femmes et trouve son apogée vers 35/40 ans mais peut augmenter ensuite surtout si la femme s'est retrouvé enceinte avant cet âge, plus généralement entre 25 et 35 ans. On dit d'une jeune femme d'une vingtaine d'années qu'elle n'est pas émancipée jusqu'à trouver des rapports réguliers avec le même partenaire masculin actif.

Ainsi on trouve de plus en plus de couples à la différence d'âge très marquée. Il n'est plus rare de voir une jeunette de 20/25 ans avec un daddy d'une cinquantaine de berges alors qu'il pourrait être son père, comme une femme "cougar" de 60 ans se taper des petits jeunes hommes. Si l'exemple des couples d'Emmanuel et Brigitte Macron ou encore les tandems Nicolas Sarkozy/Carla Bruni ou enfin François Hollande/Julie Gaillet et à contrario Johnny et Laetitia Hallyday prouve une différence d'âge marquée de plus d'une génération, c'est essentiellement dû au fait d'une différence de progression de la libido, mais pas seulement.

Pour s'émanciper une jeune femme de la vingtaine trouvera plus intéressant de se retrouver au lit avec un homme d'expériences qui lui apprenne des trucs, comme les "leçons de choses" qu'on apprenait à l'école primaire comme la situation professionnelle du daddy choisi. L'homme mûre quant à lui trouve dans la jeunette la femme-enfant qu'il n'a jamais eu et peut mettre tout son savoir en matière sexuelle à rude épreuve, ne serait-ce que pour se prouver à lui-même qu'il n'est pas complètement fichu sur ce plan là. Pour ce qui est de la femme de la soixantaine, elle trouve (ou retrouve) dans les bras du petit jeune l'extase qu'elle n'a pas connu où quelle a perdu chez un compagnon plus âgé dont elle a partagé la vie auparavant.

Si l'argent ou la situation peut rentrer en ligne de compte concernant le choix d'un partenaire plus âgé que soi-même, c'est surtout l'aventure sexuelle (et pour certains et certaines la succession d'aventures) et celle de la vie qui créent le magnétisme entre deux personnes à la libido opposée. Comme je le disais dans le post "Votre part de masculin et de féminin", les opposés sexuels s'attirent entre l'actif et le réceptif et les individus se rassemblent et se retrouvent dans la compatibilité de leur thème psycho-astrologique. C'est une communion de l'âme et du corps. Rappelons que le sexe et donc la libido de chacun, c'est d'abord dans la tête...

Un couple jeune/vieux a une libido opposée, l'une barrée ou sous-développée; l'autre à son apogée. A un moment donné, en vieillissant, nos deux tourtereaux se retrouveront dans une libido identique avec le besoin d'autre chose mais moins d'envies sexuelles.

Mais qu'en est t'il des transsexuelles, me direz-vous ? Celles-ci ont une libido ambivalente ou pour le moins versatile à la fois masculine lorsqu'elles sont jeunes et pré-opérées tout en étant féminine par la petite porte-arrière, pour devenir totalement féminine et doublement réceptive avec l'âge une fois opérée ou non. Je déconseille donc à toutes les transsexuelles de se faire opérer avant sa 35ème année afin de ne pas décevoir l'homme réceptif d'un certain âge à la libido en régression.

Heureusement, il y a Viagra, DHEA et les excitants naturels qui prolongent la sexualité active. Le tout en matière de libido est toujours d'accorder ses violons sur le même diapason que son partenaire. Préliminaires obliges !

 
 
 

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